Mon Hyperemesis Gravidarum

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Mon Hyperemesis Gravidarum

Mon Hyperemesis Gravidarum – Analyse d’une maman en auto-thérapie

C’est courant, au début de leur grossesse, les femmes souffrent de nausées et de vomissements. En majorité, ces nausées sont très désagréables mais sans danger pour la santé de la future maman et celle du bébé. Elles disparaissent le plus souvent seules passé le premier trimestre. Mais dans moins de 3% des cas, ces nausées matinales de la grossesse prennent une forme beaucoup plus grave : c’est ce qu’on appelle l’hyperemesis gravidarum.  Résumé & analyse du témoignage d’une courageuse maman bravant les interdits et les tabous ^^

L’hyperemesis gravidarum

On l’appelle l’hyperemesis gravidarum, cette forme aggravée des nausées de la grossesse qui touche moins de 3% des femmes. En grec, hyper veut dire en excès, emesis vomissement, et gravidas grossesse), et c’est de cette affection dont a souffert Kate Middleton lors de sa grossesse. (Selon un communiqué officiel, la duchesse de Cambridge a été admise par précaution à l’hôpital King Edward VII à Londres).

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Kate Middleton a eu une grossesse compliquée dut à l’hyperemesis gravidarum,

Les symptômes de l’HD sont importants et nécessitent une hospitalisation de la future maman : nausées et vomissements bien sûr, mais aussi perte de poids, déshydratation, constipation, déséquilibre des niveaux d’hormones dans l’organisme, dommages au foie et aux reins… Et les conséquences nombreuses : sentiments de dépression, des difficultés dans son couple, et des inquiétudes pour la santé de l’enfant à naître…

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L’Hyperemesis Gravidarum; un enchainement de symptômes sans véritable remède officiel

Une maman clair d’esprit

Dans le monde “prudent” du cannabis, la majorité attend une réponse “prudente” et claire avant de se lancer dans une thérapie… La médecine scientifique et occidentale n’est pas la seule en ce jour à resplendir de son analyse… En témoigne le cas de cette maman, qui sans trouver de véritable solution à ce symptôme rare et très handicapant, s’en est allé recherché une solution verte !!

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L’impact négative et la vision ancienne de la Marijuana hante encore la société; son illégalité n’arrange pas la chose… Le tabou persiste alors que les témoignages sont de plus en plus probants. En off, beaucoup de futures mamans ont utilisé le cannabis pendant la grossesse pour traiter l’Hyperémése. Supportant l’humiliation, les tabous en vigueurs mais en ne se cachant pas des bienfaits thérapeutiques de la marijuana (riche en CBD)… Évidement sur le plan scientifique nous savons déjà que la marijuana soulève des problèmes pendant la grossesse, mais ceci est dut à la toxicomanie et un usage intensif qui généralement est plus commun à une poly-toxicomanie non avouée… La Marijuana étant la forme de substance restant dans le sang plus que les autres “drogues”, et  sous une forme INACTIVE, elle est accusée d’être la cause des excès de certaines personnes…

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Un bébé bien protégé

Pour soulager ses maux d’estomac la future maman a choisit des souches faibles en THC, comme la White Rhino, la Grape Ape et la Sweet Skunk. Le placenta est comme propre, grâce à son système de filtration naturel, évidement il est recommandé de faire le maximum d’effort au possible pour réduire les substances psychotropiques à l’exposition au fœtus.

Le bébé miracle

Une bonne santé en période de grossesse est plus important que tout !! Ce qui comptait pour cette future maman. Le maintient de la grossesse, et les nausées matinales gravissimes empêchent cette bataille pour la vie… Dix huit semaines après le feu vert (marijuana), elle a retrouvé une ligne bien adéquate. L’enfant naquit en bonne santé, et sans aucun problème lié à la marijuana !!! La maman conclu être fière de son corps et estime que la plante miracle a aidé à la naissance de sa fille bien née !

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Une fillette heureuse

L’hyperémèse au cannabis et le remède qui brûle

Lorsque des utilisateurs chroniques de marijuana se présentent aux urgences avec des vomissements incontrôlables, les médecins disposent d’un baume qui peut soulager leur douleur. Les scientifiques ne savent pas pourquoi cela fonctionne.

Les vomissements dépendent d’une partie de l’hypothalamus appelée nucleus tractus solitarius, qui intègre de nombreux apports. Il se connecte aux parties du cerveau et du système nerveux périphérique qui détectent le mouvement et la position, les produits chimiques circulant dans le sang et l’état de l’estomac et de l’intestin. Il prend également l’entrée du cortex, où la pensée d’ordre supérieur a lieu.

Selon Vincenzo Di Marzo, un biochimiste qui étudie la signalisation des endocannabinoïdes et des cannabinoïdes à l’Université Laval de Québec, la plupart des neurones du centre du vomissement et sa zone de déclenchement de détection chimique expriment le récepteur cannabinoïde CB 1 R. Le récepteur couplé aux protéines G le plus abondant dans le cerveau, il répond à des molécules de signalisation appelées endocannabinoïdes.

Lorsque CB 1 R au terminal présynaptique d’un neurone est activé, il rend ce neurone moins susceptible de se déclencher sur cette synapse. CB 1 R est également exprimé dans le système nerveux périphérique dans le nerf vague et les nerfs entériques qui relient le cerveau à l’intestin.

Le composé le plus abondant de la marijuana, le THC, fait planer un utilisateur en se liant au CB 1 R. Dans les modèles animaux, cette interaction peut également rendre les vomissements moins probables.

Un deuxième récepteur cannabinoïde, appelé récepteur CB 2 , se lie également au THC et aux endocannabinoïdes. Le CB 2 R est principalement exprimé dans les cellules immunitaires, mais des chercheurs dirigés par le scientifique de l’Université de l’Alberta, Keith Sharkey , ont rapporté en 2005 que ce deuxième ensemble de récepteurs cannabinoïdes apparaît dans les neurones du centre des vomissements et que leur stimulation réduit également les vomissements.

Pourquoi, alors, une forte dose fréquente de cannabis provoque-t-elle des vomissements ?

“Parfois, les médicaments produisent exactement l’effet inverse de ce à quoi vous vous attendez”, a déclaré Di Marzo.

Étant donné que le SHC survient principalement chez les personnes qui ont consommé du cannabis au moins une fois par semaine, souvent pendant des années, et que les cannabinoïdes ont tendance à s’accumuler dans les tissus, il y a des raisons de supposer que le syndrome résulte d’une désensibilisation des récepteurs cannabinoïdes, en particulier CB 1 R. Désensibilisation par phosphorylation, fixation de l’arrestine ou internalisation est une réponse biochimique courante pour restaurer l’homéostasie après l’activation chronique des récepteurs.

Ethan Russo, neurologue et co-fondateur d’une société de biotechnologie axée sur le cannabis appelée Credo Science, a déclaré que tout agoniste CB 1 R peut provoquer le syndrome d’hyperémèse du cannabis. Par exemple, les personnes utilisant des cannabinoïdes synthétiques, qui activent 1 très fortement le récepteur

Di Marzo a déclaré que si l’activité de base des récepteurs CB 1 est nécessaire pour maintenir le centre des vomissements silencieux, la désensibilisation de ces récepteurs pourrait être un déclencheur des symptômes du SHC.

Ces dernières années, les produits à base de marijuana sont devenus beaucoup plus riches en THC qu’auparavant, et les experts soupçonnent que le changement, combiné à une légalisation croissante des États à l’échelle nationale, a stimulé une augmentation des cas de SHC depuis que la maladie a été identifiée en 2004 .

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